photo Technicien / Technicienne en traitement des eaux

Technicien / Technicienne en traitement des eaux

Emploi Cabinets d'interim - Cabinets de recrutement - Conseil RH

Dijon, 21, Côte-d'Or, Bourgogne-Franche-Comté

Mission : exploitation de piscines publiques de l'agglomération dijonnaise (+ sites de production et de stockage d'eau potable) pilotage des installations hydrauliques dans le respect de la qualité de l'eau (pH, chlore, température,...) exploitation des équipements exploités dépotage et approvisionnement des réactifs maintenance des équipements électromécanique et hydrauliques suivi des divers indicateurs (énergie, qualité de l'eau) pilotage de la sous-traitance rédaction de rapports d'exploitation Profil recherché Formation souhaitée : BTS Gemeau ou Métiers de l'eau et/ou expérience dans le domaine du traitement d'eau potable / piscine Poste en itinérance

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L'eau douce

Dijon 21000

Du 16/02/2022 au 17/02/2022

L’eau, trouble et double, fascine Nathalie Pernette. Tout à la fois sombre et limpide, douce ou furieuse, joyeuse et ténébreuse, peuplée d’êtres fantastiques réels ou imaginaires… elle est une intarissable source d’inspiration pour la chorégraphe, qui après La mémoire de l’eau, pièce tous publics, proposée dans les piscines, imagine son pendant pour les tout-jeunes enfants. Dans L’eau douce, elle conçoit d’abord une rêverie chorégraphique, qui fouille la part étrange, légère et ludique de l’eau. Elle trace aussi un voyage, celui des corps qui dansent et des imaginaires qui divaguent. Son chemin traverse différents états de l’eau, de la glace à la neige, de la brume à l’évaporation. Jouant de ses différents aspects, L’eau douce saisit l’humeur changeante et imprévisible de l’eau pour mieux la « goûter », et (qui sait ?) donner l’envie d’en prendre soin…

photo L'eau douce

L'eau douce

Dijon 21000

Le 17/02/2022

L’eau, trouble et double, fascine Nathalie Pernette. Tout à la fois sombre et limpide, douce ou furieuse, joyeuse et ténébreuse, peuplée d’êtres fantastiques réels ou imaginaires… elle est une intarissable source d’inspiration pour la chorégraphe, qui après La mémoire de l’eau, pièce tous publics, proposée dans les piscines, imagine son pendant pour les tout-jeunes enfants. Dans L’eau douce, elle conçoit d’abord une rêverie chorégraphique, qui fouille la part étrange, légère et ludique de l’eau. Elle trace aussi un voyage, celui des corps qui dansent et des imaginaires qui divaguent. Son chemin traverse différents états de l’eau, de la glace à la neige, de la brume à l’évaporation. Jouant de ses différents aspects, L’eau douce saisit l’humeur changeante et imprévisible de l’eau pour mieux la « goûter », et (qui sait ?) donner l’envie d’en prendre soin…